14/04/2015
Les yeux dans les neiges
étincelantes du Chimborazo (Ses 6310m en font le point le plus éloigné
du centre de la Terre) nous nous faisons un après-midi de farniente au bord de
la Laguna de Colta aux abords de Riobabmba. Une fois encore nous
avons retrouvé de l’altitude sur notre route vers Quito après un stop
d’intendance à Cuenca, ambiance festive et jour de hornado =
cochons et hamster grillés dans les picanterias.
A 3200m voici les premiers
volcans de cette « célèbre avenue » entre 2 Cordilleras et qui
culminent tous entre 5 et 6000m. En attendant de les approcher, nous retrouvons
avec plaisir plus d’urbanisme dans un
pays beaucoup plus propre, des routes asphaltées et les abords des villes entrent
davantage dans nos critères européens. Rouler dans le campo très pastoral est
un plaisir, d’autant plus avec un diesel à 0,35€/l.
15/04/15
A Rio Verde, juste
au pied du Tungurahua (« gorge de feu » en quechua), un cône
parfait à plus de 5000, toujours en activité, c’est le début d’une longue
balade avec rivières à truites, sources thermales, bains turcs et de
magnifiques cascades plus ou moins heureusement aménagées pour en multiplier les
points de vue.
Tout cela dans un décor de
forêt tropicale avec beaucoup de fleurs (hibiscus, alpinas, roses de
porcelaine, balisiers, orchidées, oiseaux de paradis…) et de fruits, une agréable
température entre 20 et 25°. Un peu les alentours de la Pellée en Martinique.
Le bivouac dans un camping fermé à cette période est agréable, vaillante Babouch’
est en vacances aujourd’hui.
Le Cotopaxi est dans
les nuages, on en découvre de temps en temps la caldera enneigée entre 2
averses.
Seuls au Monde nous allons attendre jusqu’à demain le soleil, mais les conditions presque hivernales ici dans le Parc à 3800 risquent de ne pas faire un bivouac très chaud !
Nous l'avons notre récompense du matin ! Ca ne dure pas longtemps, mais la voici.
Peu de temps après, en montant au refuge, tout se referme déjà
Alors, sous le pluie, nous quittons le parc pour arriver à Quito en fin d'après midi.
Seuls au Monde nous allons attendre jusqu’à demain le soleil, mais les conditions presque hivernales ici dans le Parc à 3800 risquent de ne pas faire un bivouac très chaud !
Nous l'avons notre récompense du matin ! Ca ne dure pas longtemps, mais la voici.
Peu de temps après, en montant au refuge, tout se referme déjà
Alors, sous le pluie, nous quittons le parc pour arriver à Quito en fin d'après midi.
Tu as retrouvé une vieille passion on dirait
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