12
mars 2016
Adios
Mina et merci pour la garde de notre véhicule au trailer park de
Téotihuacan.
C'est parti pour un grand contournement des quartiers Nord de Mexico City sans intérêt
Le lendemain, c'est raté las mariposas Monarca ! Nous ne verrons rien de la fabuleuse et complexe migration des papillons Monarque qui arrivent tous les ans par milliards depuis la région des Grands Lacs américains à 4500 km jusque dans ces montagnes mexicaines pour se reproduire avant d'aller donner naissance à de futurs nouveaux voyageurs dans le Sud Est américain.(voir www.monarchwatch.org) Trop tard dans la saison, pas assez chaud, pas de soleil et même un vrai déluge (pluie et grêle) qui nous prend au Cero Pelon et dure 48h de Valle de Bravo à San Miguel. Pas même un petit aperçu des montagnes dans ce brouillard à couper au couteau à 3000 m d'altitude. La seule note bleue qui surgit ça et là dans tout ce gris, est la magnifique floraison des jacarandas.
Ça commence fort ! On va essayer de se rattraper à San Miguel de Allende puisque la météo annonce du mieux.
Déjà un campground
super bien équipé...
oui, la petite là, au milieu... |
Heureusement l'accès reste impossible au big rigs |
et un premier tour en ville nous donne un aperçu de la ville coloniale que nous découvrons les jours suivants sous un ciel radieux.
C'est une villégiature très appréciée des gringos et autres étrangers qui constituent 20% de la population. L'architecture coloniale espagnole est bien sûr la base du pouvoir attractif actuel de la cité avec sa profusion d'églises, couvents et oratoires longtemps financés par l'exploitation minière (argent et or).
Cathédrale de San Miguel |
Bien sûr, inévitable escale dans la patio du Starbucks local pour Lili |
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