14/05/2015
Impressionnante collection
d’objets rituels et d’ornement en or des différentes civilisations pré-hispaniques
exposés dans ce trésor colombien, mais aussi tour d’horizon ethnographique du
pays sur les 3 niveaux de ce musée moderne.
Ici aussi, des édifices
anciens de la capitale bien noyés dans un modernisme écrasant, il ne reste pas grand-chose.
Et puisque nous sommes dans
les grands classiques : San Francisco couverte de sculptures sur bois, le
musée Botero, malheureusement fermé aujourd’hui, enfin l’austère Plaza Bolivar
avec cathédrale, palais de justice et capitole ne nous retient pas longtemps.
La journée passe trop vite,
juste le temps d’un coucher de soleil sur Bogota depuis le Sanctuario de
Montserrate que l’on gagne en téléphérique à la nuit tombante.
Un peu plus au Nord, et après quelques pouces en l'air des militaires en arme qui assurent une communication populaire qui se veut positive tout au long des routes, c'est Zipaquira,
tout le contraire ici, le village tranquille est considéré comme le joyau colombien de son
passé colonial.
Incontournable visite de ce
qu’il convient de qualifier comme la « première merveille colombienne » :
La Catedral de sal. Tout au long d’une déambulation souterraine de 2km,
les thèmes religieux sculptés dans le sel, forment le fil conducteur de la
visite. Ils ont inspiré grand nombre d’artistes en ces lieux insolites,
gigantesques et solennels des anciennes galeries minières à 180 m sous terre en
rendant hommage aux générations de mineurs. Sur près de 2000m de profondeur ces
réserves considérables de sel sont encore exploitées aujourd’hui, plus bas, par des moyens
hydrauliques plus modernes (www.catedraldesal.gov.co)
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