samedi 7 mars 2015

PEROU/Lac Titicaca, côté Péruvien

Une meilleure connexion nous permet de mettre à jour l'article précédent qui n'avait pas toutes ses photos


07/03/15

Puno n’a rien d’extraordinaire, si ce n’est sa situation privilégiée le long d’une vaste baie.




Bien sûr nous n’échappons pas à la visite « schtroumfesque » des Uros.



Il y a bien quelques explications, des sourires et l’envie de bien faire dans tous les clichés kitchs à souhait de cet accueil touristique, mais il y a surtout la nécessité de tirer le meilleur profit du peu de temps que laisse la lancha qui déverse régulièrement sa bande de toutous sur l’une des 87 l’iles en totoras (roseaux).



Sans doute un avant-goût de l’organisation péruvienne pour un tourisme de masse qui nous prépare à la prochaine visite du Machu…
Nous échappons à revêtir le costume traditionnel et après une dernière contine locale (Alouette, je te plumerai…) nous rembarquons en quittant les Schtoumfs, (du grand n’importe quoi) pour une visite au musée Carlos Dreyer, la basilique et une balade dans la ville.



Retour à l’hôtel Posada del Inca récupérer la voiture.


Nous filons en face sur la presqu’ile Capachica, une ambiance pastorale bien loin de l’exploitation mercantile des iles flottantes nous y attend.


Mais la pluie s’installe et les abords du lac deviennent bourbiers, nous reprenons la route vers Arequipa.
Au Pérou comme en Bolivie rien ne change. La barbouille des slogans politiques, syndicaux et électoraux est la même. Pas une roche, pas un arbre, pas un mur n’échappent à l’agression permanente en lesquels ils sont transformés à grand coup de pinceau. Même chose pour les « abords-décharges » des villes sales, même constructions minables et  voiries défoncées comme ici à Juliaca.



1 commentaire:

  1. que ça me rappelle de bons souvenirs ... routes défoncées, flaques ou même carrément mares stagnantes et glauques, circulation complètement anarchique, véhicules d'un autre monde mais qui continuent à fonctionner ... et j'en passe. Les paysages restent beaux si on fait abstraction des "poubelles" de plein air ... Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est ... dépaysant ...Je pense beaucoup à vous et vous fais de gros bisous

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